
Du 29/01, 05/02, 08/02, les mercredis 19:30
SALES BOULINGRIN
Auteur : Georges Courteline
Mise en scène : Anthony Le Foll
Interprètes : Adnane Lakhfif / Tristan Rambaud / Carla Reynes / Julien Cardon
Genre : Comédie
Durée : 80 minutes
Tarifs : 22€ / 15€ (Tarif réduit)
Résumé
Dans le grand manoir de Monsieur et Madame Boulingrin, un homme est
invité : Monsieur Desrillettes. Accueilli par Félicie, il pense se jouer de ses hôtes en profitant de leur confiance pour piller leur garde-manger.
Cependant, il va rapidement se rendre compte qu’il a mis les pieds dans un véritable chaos dont il ne pourra jamais sortir. Les situations cocasses s’enchaînent, les quiproquos se multiplient et les personnages hauts en couleur se dévoilent peu à peu, faisant de cette pièce de théâtre une comédie burlesque éclatante.
Super farce, melting-pot sur fond de Courteline à la sauce Devos avec une belle succession de gags de haute volée portés par quatre comédiens talentueux. Quelques passages de virtuosité parfaitement tenus. Une bonne rigolade ! Longue vie aux Saturés !
Super adaptation déjantée de la piece d’origine. On s’amuse beaucoup pendant cette représentation portée par de bons comédiens.
Cette pièce est remplie de rebondissements et jouait par des jeunes très prometteurs. On ne voit pas le temps passer. Une pièce comme on aime ! Je recommande ++++
On a passé un super moment. Merci.
Simplement à pleurer de rire,
Une caricature de la pièce de boulevard s’inspirant de Devos, Palace etc…
Un formidable moment remplis de rebondissements inattendus que même les plus grands marabouts ne pourraient prévoir !
Une comédie au rythme déchaîné que je conseille absolument !
Ça faisait longtemps que je n’avais pas autant été surprise par de jeunes comédiens ! Ils remanient à la perfection la pièce de Courteline et savent faire rire un public. Franchement courez la voir, vous ne serez pas déçus.
Vous connaissez Les Boulingrin, de Courteline ? Eh bien Sales Boulingrin c’est ça… Mais pas que.
C’est avant tout une heure vingt de rire non stop, mêlant à la satire courtelinienne l’absurde de Palace, la finesse de Devos, deux doigts, et la jeunesse de quatre comédiens (dont une comédienne et demi) qui laissent libre cours à leur contagieuse folie.